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Ancien repaire d’ivrognes, autrefois considéré comme un des karaokés à découvrir à Montréal. L’endroit a depuis été découvert à maintes et maintes reprises, si bien qu’on a de la difficulté à y circuler les samedis soirs, à travers la foule dense de nostalgiques de 20 ans venus s’époumoner sur les mélodies de leur enfance. C’est le lieu de résidence de Monique, dame de l’âge d’or, vêtue de rouge, qui vous fera revivre l’année 1963 avec des succès comme «C’est la faute au bossa nova» et «Un baiser de toi».
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Ancien repaire d’ivrognes, autrefois considéré comme un des karaokés à découvrir à Montréal. L’endroit a depuis été découvert à maintes et maintes reprises, si bien qu’on a de la difficulté à y circuler les samedis soirs, à travers la foule dense de nostalgiques de 20 ans venus s’époumoner sur les mélodies de leur enfance. C’est le lieu de résidence de Monique, dame d'âge mur, vêtue d'un polar rouge et parfumée au formol, qui vous fera revivre l’année 1963 avec des succès comme «C’est la faute au bossa nova» et «Un baiser de toi». On raconte que Monique est en réalité Émilie de Watatatow ayant subi un vieillissement prématuré dû à sa consommation abusive de Kétamine, en partie causée par sa rupture d'avec Chicoine.

Version actuelle en date du 17 mai 2016 à 17:16

Ancien repaire d’ivrognes, autrefois considéré comme un des karaokés à découvrir à Montréal. L’endroit a depuis été découvert à maintes et maintes reprises, si bien qu’on a de la difficulté à y circuler les samedis soirs, à travers la foule dense de nostalgiques de 20 ans venus s’époumoner sur les mélodies de leur enfance. C’est le lieu de résidence de Monique, dame d'âge mur, vêtue d'un polar rouge et parfumée au formol, qui vous fera revivre l’année 1963 avec des succès comme «C’est la faute au bossa nova» et «Un baiser de toi». On raconte que Monique est en réalité Émilie de Watatatow ayant subi un vieillissement prématuré dû à sa consommation abusive de Kétamine, en partie causée par sa rupture d'avec Chicoine.