Fred Savard
Curriculum vitae[modifier]
Fred Savard est celui qui a une voix de canichou à La soirée est (encore) jeune. Il est aussi reconnu pour des rôles insignifiants de policiers dans plusieurs télé-séries et autres téléromans. La légende veut qu’il boit comme un trou, peut-être même plus que son complice de brosse Jean-Sébastien Girard. On peut l’apercevoir régulièrement faire un très léger jogging sur la track du CP pour brûler l’alcool de la veille et permettre de recommencer au 5 à 7.
Son nom[modifier]
Comme un gars de la radio de Québec, celui qui est né Joseph-Armand-Félicien-de-la-Frédéric Savard-Beaulien-Thivierge-Poitrat préfère se faire appeler publiquement par la familiarité «Fred Savard». Alors que certains diront que c’est une simple coquetterie, la majorité de l´équipe rédactionnelle de Wikiplateau pense que c’est pour éviter d’avoir l’air d’un ostie de frais chier de gauchiste de la haute. Quessé que tu veux, quand tu as commencé ta vie à l’école privé de Drummondville, tu penses que ton caca de canichou pue moins que celui du voisin.
Historique[modifier]
Fred Savard est violemment exclu du groupe les Zapartistes lorsque son égo et son foie traverse les lignes de piquetage formé par des grévistes de la SAQ. Il dira plus tard que son départ était volontaire, mais c'est de la boulechitte. Après des apparitions sporadiques dans une émission de radio de fond de garage (Le spornographe), il se joint à la nouvelle émission "La soirée est (encore) jaune", où il se jambonise lentement. Ce processus débute par une attitude semi-raciste-acceptable en chiant sur les Français du plateau, mais s'accélère au contact du féminisme qui ne se contente pas d'acclamer ses opinions pro-féministes de surface. Les premiers signes de sa jambonisation surviennent lorsqu'il est confronté par certaines féministes du fait que l'émission est un boys club. Alors que les autres chroniqueurs reconnaissent généralement volontiers ce fait, Fred Savard le prend mal et chiâle à la manière de Denise Bombardier. À la suite d'une entrevue avec Les Brutes où il se démarque par une attitude de fermeture totale, il signe une chronique, entre autres, sur les micro-agressions où il reprend en substance les "arguments" de Mathieu Bock-Côté, un nouvel ami anonyme de l'émission. Les stratégies rhétoriques de Fred, inspirée de Bock-Côté, sont au nombre de 3 : - Exagération : consiste à prendre une anecdote pour la généraliser à une position. Par exemple: Une fois, Fred Savard a dépassé des lignes de piquetages. C'est donc un gros con de droite. - Auto-flagellation ironique : consiste à réifier sa position dominante en ridiculisant l'idée même de privilèges par un ton ironique. Par exemple : Je suis blanc et mes ancêtres ont du sang sur les mains et j'ai très honte. - La théorie du bon sens : consiste essentiellement à pousser des "franchement, là" et des "ben voyons" pour exclure toute réflexion. Technique couramment utilisée par Martineau. Par exemple : "Ben voyons donc!!!! Franchement!!!!"
