Dominic et Martin : Différence entre versions
De Wiki Plateau
(Page créée avec « Semblant tout droit sortis d’une époque révolue, ces dignes successeurs de Ti-Gus et Ti-Mousse pratiquent un humour dans la plus pure tradition du burlesque. P... ») |
|||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Semblant tout droit sortis d’une époque révolue, ces dignes successeurs de [[Ti-Gus et Ti-Mousse]] pratiquent un humour dans la plus pure tradition du [[burlesque]]. Protégés du regretté [[Gilles Latulipe]], Dominic et Martin font revivre à un publique nostalgique un temps ou le rire était moins empreint de sarcasmes et d’ironies. Un temps ou le deuxième degré n’occupait pas toute la place. Un temps ou les farces étaient plus simples à comprendre et ou le [[théâtre des variétés]] de la [[rue Papineau]] (aujourd’hui le La Tulipe) faisant office de temple, accueillait un publique, certes celluliteux, mais Oh combien joyeux. | Semblant tout droit sortis d’une époque révolue, ces dignes successeurs de [[Ti-Gus et Ti-Mousse]] pratiquent un humour dans la plus pure tradition du [[burlesque]]. Protégés du regretté [[Gilles Latulipe]], Dominic et Martin font revivre à un publique nostalgique un temps ou le rire était moins empreint de sarcasmes et d’ironies. Un temps ou le deuxième degré n’occupait pas toute la place. Un temps ou les farces étaient plus simples à comprendre et ou le [[théâtre des variétés]] de la [[rue Papineau]] (aujourd’hui le La Tulipe) faisant office de temple, accueillait un publique, certes celluliteux, mais Oh combien joyeux. | ||
| + | |||
| + | [[Fichier:DM.jpg]] | ||
Version du 2 juin 2016 à 09:26
Semblant tout droit sortis d’une époque révolue, ces dignes successeurs de Ti-Gus et Ti-Mousse pratiquent un humour dans la plus pure tradition du burlesque. Protégés du regretté Gilles Latulipe, Dominic et Martin font revivre à un publique nostalgique un temps ou le rire était moins empreint de sarcasmes et d’ironies. Un temps ou le deuxième degré n’occupait pas toute la place. Un temps ou les farces étaient plus simples à comprendre et ou le théâtre des variétés de la rue Papineau (aujourd’hui le La Tulipe) faisant office de temple, accueillait un publique, certes celluliteux, mais Oh combien joyeux.
